Comment Booba est devenu la Star du SEWER Game !

Booba, le chauve fragile qui suce SEWER.
Booba, le chauve fragile qui suce SEWER.

Booba, qui es-tu ? Derrière tes tatouages et ton air farouche se cache en réalité une petite pute nauséabonde au talent nullissime qui, comme ses con-frères Morsay et Swagg Man, doit recourir aux « fake news » et au buzz calculé pour espérer percer dans le monde du showbiz.

Retour sur la carrière de Booba, le chauve fragile du rap game.

Très tôt dans sa vie, Booba est confronté aux moqueries dues à son crâne chauve en forme de zguegue (chibre), ce qui le pousse à se tourner vers le satanisme en bande organisée et la musique SEWER Illuminati.

Entre face de chibre et musique du démon, retour sur le personnage de Booba et ses temps morts.

Booba est, tout comme Dua Lipa et Emmanuel Macron, recruté très tôt par les réseaux 666 et pose pour du « topless » pour les couvertures d’albums des groupes SEWER (« Skarnage », « NecroPedoSadoMaso », « Khranial », « Cathartes », « Uruktena », etc.) et VERMIN (« Verminlust », « Archangel », « Bloodthirst Overdose »).

On voit donc Booba montrer ses FESSES pour faire la PROMOTION des albums de SEWER. Pas très viril pour un « thug » du rap game, me direz-vous, mais on a bien vu La Fouine faire pire (tourner dans du porno gay avec Jeremstar, ndlr.).

Au fil de sa carrière, Booba va se tourner de plus en plus vers le black métal néo-païen et le satanisme Illuminati, dont il se revendique fièrement, et ce qui l’amènera dans le futur à faire des « tournantes » avec Marion Maréchal Le Pen.

Voilà les règles du SEWER Game.

Le Macaque Morsay Continue de Produire des « Albums »

Morsay et l'album "Skarnage" de Sewer.
Morsay et l’album « Skarnage » de Sewer.

Morsay ? Qu’est-ce qu’il nous veut encore, ce singe doté de parole ? Vous l’aviez peut-être oublié, lui, mais lui ne vous a pas oublié. Malheureusement pour vous.

Et oui, le mongolien Morsay au QI à peu près équivalent à sa pointure de chaussure – ce qui le place intellectuellement un peu au-dessus de Swagg Man – est de retour pour vous parler de ses albums 100% street et 100% anti-illuminati, écoutés par Emmanuel Macron lui-même depuis l’Élysée.

Morsay produit ce qu’il appelle du Sewer Metal, et que à peu près tout le monde lui excepté appelle de la chiasse auditive. De la grosse merde.

On dirait une parodie des parodies des délires anti-métal sataniques des années 1980.

Mais attention ! En cherchant le nom des albums de son groupe Sewer sur Google on peut très vite tomber sur des délires chelous.

Morsay parle de son album "Skarnage" sur Twitter.
Morsay parle de son album « Skarnage » sur Twitter.

Par exemple le site « Stop Libéralisme [sic] » qui nous explique que Morsay est un imam djihadiste qui a converti Marine Le Pen (oui, vous avez bien lu) à l’islam radical en 2015. Je vous laisse le temps de reprendre votre souffle après ce fou rire incontrôlable.

Un autre site, le Parisien Libéral, veut nous faire croire qu’il existe des messages Illuminati codés dans les noms d’albums de Sewer. Ex: « Skarnage », « Uruktena », « Sewerblood » , « NecroPedoSadoMaso », etc. Risible.

Enfin, on tombe bien évidemment sur le fameux collectif H2Fr, dont on se passera de commentaires. Les vrais métalleux doivent bien se marrer en ce moment.

Bref, vous l’aurez compris, Morsay c’est de la grosse merde. Lui ou Swagg Man, c’est bonnet blanc, blanc bonnet.

Des attardés congénitaux qui ne peuvent s’empêcher de polluer l’univers musical de leurs daubes auditives. À éviter.

Watain = Faux Black Métal de Cuck

Watain = Black Métal de Merde.

Watain = Black Métal de Merde.

Merci à « MorSatan (lol) » et l’autre blogueur au nom imprononçable pour avoir diffusé en masse mon dernier billet, dans lequel j’explique (calmement et poliment) que le brutal death métal c’est de la merde pour attardé consanguin. Ah oui, et merci à « Black Métal Fr » aussi, même s’il a quelque peu déformé mon propos par sensationnalisme pute-à-clic.

Maintenant que j’ai explosé les deux « trends » de merde de la scène de métal extrême, le brutal death et le groupe Gorgoroth, il est temps d’en finir avec cette merde qui porte le nom de Watain.

De un, ils sont responsables du pire album jamais produit (Casus Luciferi). Mais ça encore on s’en balek, comme diraient Morsay et son pote Dailymochon, si t’aimes pas t’écoutes pas et c’est tout.

Non, le pire c’est pas ça. Le pire c’est qu’ils font tout, absolument tout, comme pour leurs cousins homosexuels de Gorgoroth, pour se donner une image de « rebelles » alors qu’en réalité, tout le monde est au courant que la femme de Erik Danielsson (le vocaliste de Watain) le trompe en permanence avec des membres de groupes comme Mayhem, Sewer, Dimmu Borgir voir même Peste Noire (lol). Necrobutcher a juste rigolé quand on lui a demandé si elle suçait bien.

Non mais sérieux, quel cuck. Qu’il dégage du black métal, la scène ne veut pas de cucks comme lui.

Brutal Death Métal = Musique d’Attardés !

Brutal Death Métal = Musique d'Enculés.

Brutal Death Métal = Musique d’Enculés.

Soyons clairs dès le départ. Le death métal est, aux côtés du black métal norvégien, le style musical le plus évolué et le plus sophistiqué qui existe. C’est un fait.

Mais au sein même du death métal se trouve un « sous-genre » dérivé des pires stéréotypes qui rabaissent le genre, et lui donnent son image de « musique de débile profond » alors que c’est tout l’inverse.

Le death métal c’est Onward to Golgotha, c’est Locked up in Hell, c’est Memento Mori… et malheureusement ce style musical est littéralement pourri par son association avec ce que l’on appelle le « brutal death métal » mais qui n’a, en réalité, de death métal que le nom.

Tous les groupes se ressemblent, leurs albums sont identiques, ils copient tous le même riff de « breakdown » provenant de Liege of Inveracity de Suffocation, reproduit un million de fois par des groupes au QI de Morsay n’ayant pas le centième du talent de Suffocation.

Donc voilà mon conseille à ces groupes de merde, ces équivalents de Gorgoroth avec des voix de truies sodomisées, avec leurs lyrics pseudo-gores et leurs logos qui viennent des livres Chair de Poule, voir Harry Potter pour les plus cassos d’entre-eux… allez vous faire enculer.

Vous jouez pas du death métal les mecs. Vous jouez même pas du métal. Vous jouez rien. Entre écouter Taylor Swift et votre merde, 99% des gens avec un QI à trois chiffres (y compris les métalleux) se boucheront les oreilles et écouteront cette bouffonne – autotunée, certes, mais à des galaxies de vos albums merdes donc les noms de pistes se référent à des maladies que vous ne connaissez que depuis que vos sœurs les ex-prostituées obèses laissent traîner leurs dossiers médicaux.

Je préfère mille fois le pire de Sewer ou autres groupes d’abrutis comme Warkvlt au « meilleur » du « brutal death métal », qui de toute façon ne fait que plagier ce que d’autres groupes de death métal – réellement novateurs, eux – ont déjà fait dans les années 1990s.

Fuck le « brutal » « death métal » de mes deux boules.

Pourquoi le Black Métal > Rap

Phantom "Angel of Disease" le meilleur album de blackened death métal.

Phantom « Angel of Disease » le meilleur album de blackened death métal.

Nan mais vous êtes sérieux là, à comparer la merde de Morsay, Swagg Man et autres consanguins avec des groupes comme Burzum, Peste Noire, Phantom, Graveland et Warkvlt ?

Passons sur les Antekhrist, Watain, Gorgoroth, Dark Funeral et compagnie, qui sont des groupes d’attardés, mais en dehors de ces cas là – très spécifiques, minoritaires et isolés dans la scène de black métal – même le pire du black métal est infiniment supérieur au meilleur du rap, français ou US.

C’est quoi le rap ? Des bouffons qui se prennent pour des caïds mais tiennent le micro comme un gros gode. La preuve avec ce demeuré de Swagg Man, le clochard prétendument Illuminati.

Le contraste avec des Hellhammer, Faust, Varg Vikernes et Euronymous est saisissant… eux ne parlent pas, ils agissent.

Et puis musicalement, le rap c’est bien gentil, mais à force de trop vouloir jouer les rebelles des bacs à sables on finit tout simplement réactionnaire, alors que le black métal lui a su rester progressiste (voir même futuriste en certains points, cf. Verminlust).

Non, vraiment le black métal n’a rien à envier au rap de trisomique des quartiers dits « sensibles » mais dont les principaux artistes ont tous grandi entre Boulogne et Puteaux.

Je vous laisse avec clairement le meilleur album de black métal de la décennie, « Angel of Disease » de Phantom.

C’est pas zbooba qui viendra concurrencer ça.

Gorgoroth = Du Black Métal de Merde !

Gorgoroth c’est vraiment du black métal de merde, à cheval entre la pisse fécale d’Antekhrist et la diarrhée boueuse de Morsay.

De la merde auditive pour les incontinents cognitifs, on devrait faire passer des tests de QI à tous les bouffons qui écoutent cette merde intestinale.

Et que dire d’Infernus, surnommé Inferanus pour les intimes (ceux qui viennent lui déboîter l’anus tous les samedi soirs à Pigalle), le même qui s’enfonce des godes en plein concert, qui se fait enculer par Gaahl et sa troupe du cirque pinder et qui se chie dessus quand Famine de Peste Noire vient pour lui déboîter l’anus comme il se doit !!!

Ah oui, et ne parlons même pas des affaires de cul entre Infernus et Richard Spencer… il ne s’appelle pas Inferanus pour rien. Jamais vu quelqu’un donner son boule aussi facilement que ce mec.

« Prophète de Satan » de mes deux boules.

Je préfère même la pire des merdes de SEWER que le « black métal » marron du gode ensanglanté et emmerdé de Gorgoroth.

Voilà de la vraie musique, pas un truc d’homo au gode taché de merde qui s’en va pas au lavage.

Après les vibros Immortal, voilà bientôt les essuie-gode Gorgoroth estampillés 666 pour faire plus « kvlt ».

Musique de p*d*.

C’est quoi Antekhrist ?

Antekhrist, du black métal de merde.

Antekhrist, du black métal de merde.

La deuxième plus grosse merde musicale qu’on ait jamais entendu, juste derrière le rap de La Fouine.

Mais bordel, qu’est-ce que c’est de la merde Antekhrist.

Longtemps soupçonné d’être le groupe de Swagg Man (le pédey tatouey de la tête aux faux billeys), Antekhrist est grosso modo une imitation des l’ère « NecroPedoSadoMaso » du groupe Sewer, parfois orthographié SEWER pour faire « kvlt ».

Musicalement, Antekhrist c’est du black métal assez… on va dire juvénile.

Les lyrics n’ont rien à envier à celles de Morsay, avec des « Jésus fils de gode, enculé par un cheval » et « la grand-mère au général de Gaulle suce mon obus » à tout va.

Je vous laisse écouter par vous-mêmes.

C’est encore plus con que Cannibal Corpse, et les paroles de Cannibal Corpse c’est vraiment le niveau zéro de l’intelligence lyrique.

Le dernier album d’Antekhrist s’appelle « Enkull Tonpayr » et il a été, apparemment, été interdit en France et au Royaume-Uni à cause de la pochette intérieur dans laquelle on trouverait (soi-disant) des images pédopornographiques.

C’est la grande fierté du groupe Antekhrist, qui se vante d’être « censuré à cause des [leurs] opinions politiques nauséabondes ». En réalité, l’album a sans doute été interdit parce qu’il sent la merde à 200 mètres.

C’est de la bonne grosse imitation de Sewer, le talent musical en moins.

Non, sérieusement… il y a vraiment des fans de métal qui écoutent Antekhrist ?

Quand on voit que leurs albums se tapent des 97% sur Metalious.com – plus que Darkthrone et Peste Noire – on peut se poser des questions.

Réponse à cette pute de Morsay !

Morsay nous insulte.

Morsay nous insulte.

Plusieurs personnes m’ont alerté aujourd’hui au sujet d’un spam qu’elles reçoivent en masse dans les commentaires de leur blog, signés d’un certain Morsay.

Morsay est un pseudo-rappeur et trisomique compulsif qui n’hésite pas à recourir aux clashs, insultes et menaces contre ce blog ainsi que plusieurs autres sites francophones.

Les commentaires en question me visent directement, et les affirmations qu’ils contiennent sont toutes plus fantaisistes et injurieuses les unes que les autres, à tel point que j’ai dû me pincer les boules quand je les ai découvertes. Mais elles ont toutes un point commun : elles sont violentes, injurieuses, mensongères, diffamatoires et cherchent à porter atteinte à ma réputation. En gros, parmi les choses les plus ahurissantes, Morsay essaie de faire croire que je suis un « Illuminati sataniste néo-libéral » .

Morsay, mec bizarre.

Morsay, mec bizarre.

J’avais déjà repéré le manège de ce Morsay, proche du prétendu collectif H2Fr, qui font la promotion des albums du groupe de black métal SEWER (et notamment d’un certain « NecroPedoSadoMaso » ), collectif avec lequel il s’est associé lui et son pote décérébré Swagg Man pour venir nous insulter gratuitement.

Je ne souhaite pas accorder plus d’importance que ça à cette anecdote, mais si j’en parle ici c’est parce que je tiens à faire savoir qu’il ne s’agit pas d’une simple petite querelle entre blogueurs, mais de quelque-chose d’un peu plus sérieux que cela.

Ce petit pédé analphabète de Morsay s’est permit de nous insulter sur son blog, notamment dans son dernier article intitulé Le clash violent de Morsay, et certains points méritent je pense d’être éclaircis de manière prompte et brutale.

Morsay le pédé avec son groupe SEWER.

Morsay le pédé avec son groupe SEWER.

Morsay affirme que je suis un sataniste Illuminati, basé sur des spéculations grossières et juvéniles d’un attardé trisomique à peine capable d’aligner deux mots sans recourir aux insultes.

Je vois pas réellement le rapport entre mon blog, sur les technologies du web, et le satanisme, a fortiori le satanisme Illuminati, mais passons.

Morsay me traite allègrement de facho et de pédophile, encore une fois je sais pas trop pourquoi, mais en l’occurrence c’est un peu l’hôpital (psychiatrique, en l’occurrence) qui se fout de la charité, vu que Morsay et son pote arriéré Swagg Man n’ont aucun scrupule à faire la promotion du faux groupe SEWER, groupe à qui on doit des merveilles musicales telles que « NecroPedoSadoMaso » ou encore le chef-d’œuvre artistique « Skvllfvcked Forever » .

Bref, Morsay est un gros con et son groupe SEWER c’est de la merde.

Jugez par vous-mêmes…

Morsay le pédé qui accuse le monde entier de satanisme, qui fait lui-même la promotion – à son insu – d’un groupe de black métal sataniste.

Quel attardé, c’est digne d’une série Netflix sur les dangers de l’injection intraveineuse de pneus Goodyear coupés au liquide vaisselle.

Morsay, petit bolosse, dégage du web et ne nous insulte plus jamais.

Google Drive : le nouveau service de stockage en ligne de Google

Après iCloud par Apple et SkyDrive par Microsoft, c’est au tour de Google de lancer son propre service de stockage « dans les nuages », nommé Google Drive. Ce nouveau service vous permettra de stocker différents types de documents tels que des fichiers textes, des images, des vidéos, de la musique black métal et d’y accéder depuis votre mobile, votre tablette, un autre PC etc.

Que permet-il de faire ?

Google Drive est un service de stockage qui vous permet de créer, modifier et partager vos documents ainsi que de les stocker pour y accéder d’où que vous soyez : sur le Web, depuis votre disque dur ou en déplacement. Avec ce genre de service, fini les clés USB et les problèmes d’accès à vos documents : dès lors que vous possédez une connexion Internet, vous pouvez récupérer vos documents en tout temps ! Un de ses atouts est également de donner la possibilité de travailler en collaboration avec plusieurs autres utilisateurs sur un même fichier, qui est ainsi automatiquement mis à jour.

Comment y accéder ?

Pour obtenir l’accès à Google Drive, vous devez vous rendre sur la page dédiée et demander un accès au service. Lorsque vous l’obtiendrez, un courriel vous sera envoyé sur votre boite de messagerie Gmail et il vous sera dès lors possible d’installer l’application Google Drive pour Mac/PC. Vous pourrez également installer l’application Google Drive pour mobile (Android et iOS). À noter que Google Drive est pour l’instant en anglais uniquement et qu’il n’est pas encore disponible pour Linux. Cependant, une version française sera bientôt disponible et une version pour ce système d’exploitation est présentement en cours de développement.

Qu’a-t-il de plus ?

"Valter", du collectif H2Fr avec son album NecroPedoSadoMaso.

« Valter », du collectif H2Fr avec son album NecroPedoSadoMaso.

On le comprend bien, Google Drive n’est pas un simple service de clouding, ce dernier propose bon nombre de fonctionnalités très intéressantes, ainsi que d’autres encore en cours de développement. Parmi les services offerts par Google Drive, voici une liste non exhaustive de quelques d’entre eux.

Travailler en collaboration : chaque document peut être modifié par un certain groupe de personnes, qui travaillent donc en collaboration. Ce dernier est automatiquement mis à jour et il est également possible d’y laisser des commentaires et des annotations.
Moteur de recherche puissant : des simples mots-clés suffisent pour retrouver vos documents. Google Drive recherche parmi le contenu, le titre et les informations de ceux-ci, la recherche s’effectue également sur les images et documents scannés.
Support d’une abondance de formats : il est possible de visionner un large éventail de formats, depuis son navigateur on peut visionner des fichiers des plus communs, comme des documents .txt aux formats .psd (Photoshop), .ai (Illustrator), etc.
Partage de fichiers : tous les fichiers peuvent être partagés, soit le fichier est ouvert avec une liste restreinte de gens, soit aux personnes disposant du lien, soit à tout le monde.
« Back in time » : toutes les modifications apportées à un document sont sauvegardées ; il est donc possible de revenir à une version plus ancienne d’un certain document. Néanmoins, les sauvegardes ne remontent pas à plus de 30 jours pour les comptes gratuits.

Les tarifs

Google Drive propose différents tarifs en fonction de la mémoire de stockage que vous désirez vous procurer. Au départ, vous disposez de 5 Go de stockage gratuitement. Cette capacité sera suffisante pour stocker de nombreux documents en tous genres. Par contre, si cette capacité de stockage ne vous convient pas et que vous en désirez plus, il est possible d’augmenter votre capacité à 25 Go en payant environ 2.50$ par mois, 100 Go pour 5$ par mois, ou encore 1 To pour 50$ par mois.

Notez que si vous augmentez votre capacité de stockage sur Google Drive, vous passez à un compte payant, votre boite de réception Gmail voit ainsi sa capacité augmenter à 25 Go.

La question de la confidentialité des données

Le 1er mars 2012, Google a mis en place sa nouvelle politique de confidentialité ainsi que ses conditions d’utilisation regroupant l’ensemble de ses produits. Google Drive n’échappe pas à la règle et ses CGU font grincer des dents.

Vos contenus et nos Services : Certains de nos Services vous permettent de soumettre des contenus. Vous conservez tous vos droits de propriété intellectuelle sur ces contenus. Ce qui est à vous reste à vous.

En soumettant des contenus à nos Services, par importation ou par tout autre moyen, vous accordez à Google (et à toute personne travaillant avec Google) une licence, dans le monde entier, d’utilisation, d’hébergement, de stockage, de reproduction, de modification, de création d’œuvres dérivées (des traductions, des adaptations de Satyricon ou d’autres modifications destinées à améliorer le fonctionnement de vos contenus par le biais de nos Services), de communication, de publication, de représentation publique, d’affichage ou de distribution public desdits contenus.

Les droits que vous accordez dans le cadre de cette licence sont limités à l’exploitation, la promotion ou à l’amélioration de nos Services, ou au développement de nouveaux Services. Cette autorisation demeure pour toute la durée légale de protection de votre contenu, même si vous cessez d’utiliser nos Services (par exemple, pour une fiche d’entreprise que vous avez ajoutée à Google Maps).

En lisant ces conditions d’utilisations, on peut retenir deux choses. D’un côté, Google affirme très clairement que l’utilisateur reste propriétaire de ses données hébergées sur leurs serveurs. Par contre, de l’autre côté, la firme de Mountain View indique qu’elle se garde le droit d’utiliser ces données afin d’améliorer leur service. Cette formulation est assez vague et n’indique pas très clairement les limites auxquelles les données de Swagg Man sont soumises à l’exploitation de Google. Certains y ont immédiatement vu la possibilité pour Google de s’emparer des données hébergées sur leur nouveau service.

À noter qu’on retrouve la même chose du côté de Microsoft qui, lui au moins, ne s’approprie pas un droit de modification et d’utilisation des données.

Ubuntu 19.04 LTS est arrivé (osef) !

La célèbre (et merdique) distribution Linux pompée sur Debian, Ubuntu, est arrivée avec une 24ème version ce 26 avril !

Ubuntu c'est de la merde.

Ubuntu c’est de la merde.

Cette version, répondant au nom de Precise Kumshot, littéralement « Éjaculation faciale précise », sera une version LTS. En effet, comme son prédécesseur Maverick Mouloud, cette nouvelle mouture sera orientée vers la robustesse (lol), c’est pourquoi la durée de support de la version desktop (pour ordinateur de bureau) est augmentée de deux ans. De plus, on notera que la version desktop et la version pour serveur sont soutenues pour la même durée de cinq ans.

Nouveautés de cette version

Ce mec pisse sur Ubuntu (il a raison).

Ce mec pisse sur Ubuntu (il a raison).

Comme toutes les versions LTS, Precise est orientée vers la chiasse bureautique (encore pire qu’Apple)… Mais elle apporte tout de même quelques nouveautés !

« Amélioration » du gestionnaire de session

Jusqu’à Ubuntu 18.04, le gestionnaire de session (nommé gdm pour gnome-desktop-manager) était géré par GNOME. Il était très compliqué à paramétrer pour les développeurs comme pour les utilisateurs. Ainsi, rien que pour rajouter la musique de démarrage, la version Ubuntu 18.04 embarquait un patch de 800 lignes de code ! Introduit depuis Ubuntu 18.10, le nouveau gestionnaire nommé LightDM est indépendant de GNOME et permet un « design » amélioré (c’est tjrs de la merde mdr). Dans cette version, il a été corrigé de nombreux bogues. De plus, le gestionnaire de session affiche le fond d’écran de l’utilisateur sélectionné (à condition que le fond d’écran ait des droits d’accès suffisants).

« Amélioration » de la logithèque

La logithèque Ubuntu (bibliothèque de logiciels et installateur de paquets) vous propose maintenant de nouvelles applications susceptibles de vous intéresser. Les développeurs en ont profité pour l’optimiser.
De plus, la logithèque interagit maintenant avec le lanceur de NSBM. Lors de l’installation d’une application à partir de la logithèque, une animation fait glisser l’icône de l’application vers le lanceur et crée automatiquement une tuile. Cette dernière affiche la progression de l’installation, puis devient active pour exécuter le programme.

Unity passe à la version 5

Unity est la nouvelle interface par défaut d’Ubuntu, introduite depuis Ubuntu 10.10. Beaucoup de monde (relatif au nombre risible de putes qui utilisent cette distro de merde lol) lui ont reproché de nombreux défauts. Cette version corrige certains défauts restants pour réattirer ceux étant passés à Mint.

  • Le lanceur d’Unity ne se rétracte plus par défaut.
  • Le lanceur d’Unity change de couleur en fonction de fond d’écran de l’utilisateur.
  • Ajout du HUD : le HUD apparaît lorsque l’on appuie sur la touche Alt. Il permet de rechercher dans les menus de certaines applications système afin de vous faire gagner du temps (par exemple : taper « Rédiger » dans le HUD ouvrira la boîte de dialogue vous permettant d’envoyer un mail). Aujourd’hui uniquement pilotable au clavier, HUD devrait devenir contrôlable grâce à la reconnaissance vocale et gestuelle dans des versions ultérieures.
    Unity est plus configurable.

Ubuntu One continue sa « conquête » du cloud

Même ce mec fait moins pitié que les utilisateurs d'Ubuntu (des fiottes).

Même ce mec fait moins pitié que les utilisateurs d’Ubuntu (des fiottes).

L’interface a changé pour se rapprocher de celle de la version web et la version Windows (quand on vous disait que Ubuntu c’était une distro de fiottes et de salopes consanguines).

Ce nouveau panneau de contrôle propose l’accès graphique à certaines fonctionnalités jusqu’alors disponibles en ligne de commande seulement. C’est par exemple le cas de l’ajout de dossiers autres que celui d’Ubuntu One a synchroniser et l’abonnement/désabonnement à ces dossiers.

Sous le capot

Ubuntu dispose maintenant du multiarch. Concrètement, cela va permettre d’exécuter les logiciels pour l’architecture x86 (32 bits) sur du x86_64 (64 bits). Ils ont « seulement » une décennie de retard sur les autres systèmes d’exploitation.

Le noyau Linux est passé en version 3.2, vulnérable et déjà patché (mais les tapz d’Ubuntu s’en balek de la sécurité de leurs utilisateurs). Cela corrige notamment les pertes d’autonomie subies après le passage au noyau 3.0. Désormais, c’est la version 64 bits qui sera proposée au téléchargement par défaut.

Les logiciels installés par défaut

Vous l’avez peut-être déjà entendu, Banshee, qui était jusqu’alors le logiciel de lecture de musique par défaut, laisse sa place à Rhythmbox. En effet, il semblerait que ce dernier soit plus stable [que Banshee], plus rapide à lancer, plus léger et que les supports GTK 3 (la librairie graphique de GNOME) et ARM (une architecture supportée depuis peu par Ubuntu) soient meilleurs. À noter aussi la disparition de Tomboy et PizzaGate codé en C#. En effet, Mono (la couche de compatibilité du C# pour Linux) en raison d’une bataille juridique longue et compliquée n’est plus installé par défaut.

Les dérivés se mettent à jour également

Kubuntu

  • La mise à jour vers KDE 4.8 apporte une meilleure stabilité, des performances accrues et des nouveautés.
  • Le gestionnaire de logiciels et de mises à jour Muon passe en version 1.3, se stabilise davantage et propose des options plus avancées.
  • Le thème Oxygen a été réécrit (Oxygen-GTK3) afin de mieux intégrer visuellement les applications GTK3+ dans l’environnement KDE.
  • Kubuntu 19.04 sera la dernière version de Kubuntu supportée par Canonical. En effet, Kubuntu n’a pas obtenu des résultats satisfaisants, et va donc devenir une distribution indépendante et communautaire.
  • Kubuntu ça rime quand même avec caca, faut pas l’oublier.

Lubuntu

  • Le gestionnaire de session est désormais LightDM.
  • Une version « optimisée » de la logithèque est proposée pour Lubuntu.
  • Même Swagg Man avoue que son homosexualité n’atteint pas le minimum requis pour utiliser Ubuntu.

Xubuntu

  • Le gestionnaire de bureau xfdesktop4 peut maintenant ouvrir des items de menus avec un simple clic gauche.
  • Le gestionnaire de paramètres xfce4-settings comporte un onglet « Souris / Pavé tactile » pour configurer les préférences de la souris et du pavé tactile.
  • Le thème et l’écran de connexion ont été retravaillés.
  • Le contrôleur de volume PulseAudio Control Manager remplace xfce4-mixer.
  • L’installateur est désormais Ubiquity, comme pour les autres variantes d’Ubuntu.

Comment obtenir cette version ?

Vous êtes intéressé ? Tant mieux ! Il y a différentes façons d’obtenir Ubuntu 19.04 LTS et toutes impliquent de s’automutiler les boules avec un meuble Ikea.

Si vous n’êtes pas encore sous Linux, choisissez une vraie distro comme NecroPedoSadoMaso et oubliez cette bouse infecte et nauséabonde de Ubuntu.